Facebook login sy Google login ao amin'ny serasera

2014-07-22 @ 21:11 in Serasera.org

Vita aloha ny facebook login sy google login amin'ny ankamaroan'ny site-n'ny serasera. Raha manana compte facebook na google dia tsy voatery misoratra anarana amin'ny Vavahady intsony fa avy hatrany dia ny compte facebook na google no idiranao. Na ireo efa manana tenimiafina koa aza dia tsy voatery mitadidy tenimiafina raha ohatra ka ny email any amin'ny facebook na google ihany no ampiasainy.

Google login

Toa io sary io, ohatra, no miseho rehefa hampiditra tononkalo ianao.

Afaka mampiditra tononkalo sy tononkira, midinika any amin'ny forum, mandahatra hira, mitady namana sns... izany ianao raha vao manana Facebook sy Google fotsiny.

Ny olona vaovao mbola tsy mpikambana mihitsy tao amin'ny serasera, rehefa mampiasa ny kaonty Facebook na Google amin'ny voalohany dia angatahany mba hamorona solonanarana. Ny eto amin'ny serasera.org tsinona dia ny solonanarana no mitranga rehefa mametraka zavatra iray (tononkalo, tononkira sns), koa ilaina ihany ny mametraka ny solonanarana. Amin'ny voalohany ihany no toa izany fa avy eo tsy misy fangatahana solonanarana intsony.

Ho avy tsy ho ela koa ny Twitter sns.

 

Syril a Syril

2014-07-21 @ 10:50 in Tsy aritra, Manala azy

Tsy aritro ity dia apetrako eto... am-pitsikiana. Efa tsy ampy intsony ny fampitahana ahy amin'i Gothlieb dia izao lazainy fa Syril indray :-)
Efa niresaka momba an'i Syril aho tato ho an'izay tsy mahalala hoe iza izy.

Syril a Syril

Ny tohin'ny tantara?

Nolazaiko ra-sipa hoe tsy Syril, aho. Fa mbola nomeny ahy ihany ny laharan'i Stephanie. Sady hoy izy hoe "Faniriako ny hahita ny tohin'iny hira iny amin'ny manaraka."

Dia avy eo izy lasa... izaho vao saika hanontany hoe "Ny laharanao no ilaiko" loll.

Ny mahafaly aloha izany dia efa nahazo ny laharan'i Stephanie aho raha mila i Syril.

 

Antitra ihany isika ity...

2014-07-18 @ 07:53 in Eritreritra mandalo

Nahafinaritra sy nampieritreritra ahy ity tantara ity ka hozaraiko ato amin'ny blaogiko. Angamba fifanandrifian-javatra fa sendra nijerijery tao amin'ny FB aho dia nahita namana vehivavy taloha iray elaela tsy tazana. Eny e, tsy namako izy ka izay angamba no tsy nahitako azy fa sendra tsikaritro nametraka hevitra tamin'ny sarin'ny namana iray. Dia maika aho hijery ny sariny sy ny mombamomba azy "hitilitily vaovao". Dia hitako nanjary nangingina izy, nimpirimpirina tsy toa ny taloha. Taloha mantsy izy naka sary tetsy sy teroa tamin'ny fitafy isan-karazany, paozy isan-karazany, fiara, sambo, fety... fa ilay vao hitako ao toa takelaka mendrimendrika. Dia hoy aho tany an-tsaiko hoe "eeeeh, antitra ihany isika ity..."

Dia toa fifanandrifian-javatra fa hitako tampoka ity lahatsoratra iray eto ambany nosoratan'i Robin Korth eto ambany ity. Tamin'ny teny anglisy no nahitako azy fa hitako koa fa efa voadika amin'ny teny frantsay. Ny votoatiny dia ilay teny any amin'ny faramparany hoe "io ny vatako..." toa miteny hoe "rehefa tsy faly mibontsina :-)" Manaiky ny fotoana rehetra, izay tsy midika hoe milavo lefona na resin'ny fotoana, fa mandray ihany koa ny fotoana rehetra ho toa ny fanomezana sarobidy. Mampalahelo ny mieritreritra ny olona tsy mba nandalo ny fahazazana fa tonga dia lehibe (ireo terena hanambady dieny mbola kely), ireo tsy mba nandalo fahatanorana (rehefa lehibe vao te ho tanora), dia toa izany koa hampalahelo ireo izay tsy mba vonona handalo fahanterana ka tsy mba higoka am-pifaliana ilay rononon'ny fialan-tsasatra fa mbola te ho tanora foana ihany.

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Robin Korth

"Ma vérité toute nue" de Robin Korth

Me voilà, nue devant le miroir, toutes les lumières allumées, et je me prépare mentalement. Je respire profondément et me positionne, ainsi que les miroirs, afin d'être bien certaine que je peux me voir en entier. Je me déleste, d'un effort conscient, de l'image que je me fais de moi-même. J'ouvre les yeux et j'observe attentivement mon propre corps. Mon coeur a été chambardé par la vérité: je ne suis plus une jeune femme. Je suis une femme qui a du vécu, et mon corps est le témoin de toutes ces années passées à être le vaisseau qui a porté mon âme à travers la vie.

Je suis une femme de 59 ans et excellente santé et en très bonne forme physique. Je fais 1 m 75 et je pèse 50 kilos. Je porte des jeans et des sous-vêtements de taille 38, et mes seins sont encore bien loin de toucher à mon nombril. En fait, encore aujourd'hui, ils peinent à remplir un soutien-gorge avec un bonnet de taille B. Mes cuisses ne sont plus douces comme du velours, et mes fesses sont légèrement ridées. Mes bras sont un peu flasques et ma peau affiche les effets du soleil. Mon tour de taille est un peu mou et mon ventre tombe légèrement, héritage d'une césarienne qui lui a dérobé sa planéité, mais qui m'a donné un fils.

Pourquoi cet examen approfondi de mon propre corps? Parce qu'il était temps pour moi de réparer les dommages causés par notre culture et par ma propre crainte face à celui-ci. Il était temps de remettre un peu d'amour dans mon âme blessée. Le temps était venu de reprendre possession de chacune de ces marques et de chacun des centimètres carrés de ce corps imparfait, ce corps récemment qualifié de "trop ridé" par un homme qui était attiré par mon énergie vitale et mon esprit, mais un homme qui n'avait pas aimé ma vérité toute nue. Il se nommait Dave, et il avait 55 ans.

Nous nous étions connus via un site de rencontres. Dave était un homme intéressant, un vrai gentleman, et très intelligent. Nous nous tenions par la main et nous aimions faire de longues randonnées à vélo. Il devait parcourir de grandes distances pour me rendre visite. Il nous cuisinait d'excellents repas et adorait mon chien. J'étais très attirée par lui et j'avais très hâte de le connaître intimement. De fil en aiguille, nous avons planifié un week-end d'amoureux. Et c'est là que les choses sont devenues confuses, inexprimées et pas tout à fait claires. Nous avons partagé un lit comme le font tous les couples, nus et en contact rapproché. Nous avons partagé de nombreux baisers et nous nous endormions dans les bras l'un de l'autre. J'ai bien tenté de provoquer une intimité encore plus grande tout au long de ce week-end, mais il m'en a dissuadé à chaque fois.

Le lundi suivant, lors d'un appel téléphonique, j'ai demandé à cet homme qui avait partagé ce lit avec moi pendant trois nuits consécutives pourquoi nous n'avions pas fait l'amour. "Ton corps est trop ridé", m'a-t-il répondu du tac au tac. "Depuis des années, je me gâte avec des femmes plus jeunes. Tu ne m'excites tout simplement pas. J'aime ton énergie et ton humour. J'aime ton esprit et ton coeur. Je n'arrive simplement pas à aimer ton corps."

J'étais abasourdie. La douleur viendrait plus tard. Je lui ai demandé calmement et clairement s'il trouvait dur de regarder mon corps. Il m'a répondu oui. "Donc, ce que tu me dis c'est que de me voir nue t'est pénible?", lui ai-je donc demandé. Il m'a répondu qu'il avait simplement détourné le regard. Puis, lorsque les lumières étaient éteintes, il s'imaginait que mon corps était celui d'une femme plus jeune, que j'étais plus jeune. J'ai eu le souffle coupé et j'ai pris quelques instants pour digérer ces informations. J'ai senti mon visage s'enflammer de gêne et de honte d'avoir eu tant de facilité à me montrer nue devant lui durant notre week-end.

Nous avons continué notre discussion, mais j'étais toujours sous le choc de la nature de cette conversation. Il me parlait de bas-culottes et autres vêtements spéciaux conçus pour «masquer» mon âge. Il m'expliquait avec insouciance à quel point il aime les "petites robes noires" et les talons à minces lanières. Il m'a dit que mes cheveux n'étaient pas longs et dans le vent, comme il le préfère, mais que ça n'était pas si grave, car il trouvait mes cheveux courts "cool". Je me sentais comme une Barbie dans un "trip" de LSD pendant que j'écoutais cet homme. Il était complètement inconscient de la brutalité de ses propos. Il m'avait transformé en un objet que l'on habille et dont on dispose à sa guise pour sa propre satisfaction afin de correspondre à ses critères très spécifiques de ce que devrait être la perfection sexuelle féminine.

Il a conclu en affirmant que maintenant que je savais ce qu'il attendait de moi, nous pourrions avoir beaucoup de plaisir dans la chambre à coucher. Je lui ai dit non. Il était hors de question que je fasse abstraction de mon propre corps. Je refusais de porter des vêtements qui rendraient mon corps plus "tolérable" à ses yeux. Je n'allais pas commencer à me déshabiller dans le noir ou à prendre ma douche avec la porte de la salle de bain close. Je refusais de me diminuer pour lui, ou pour qui que ce soit, d'ailleurs. Mon corps est magnifique et il est le complément inséparable de mon esprit et de mon coeur.

Lorsque j'ai dit à Dave que je ne voulais plus le voir ni entendre parler de lui, il s'est dit confus. Selon lui, je faisais tout un plat de quelque chose d'anodin. Il se lamentait que je mettais trop d'emphase sur un tout petit élément de notre relation et que je le montais en épingle. Je n'avais même pas envie de tenter de lui expliquer la douleur et l'horreur qu'il venait de m'infliger. Je ressentais même une certaine pitié nauséeuse pour lui lorsque j'ai coupé la communication. C'est à ce moment que je me suis rendue dans ma chambre à coucher et que je me suis tranquillement déshabillée.

Pendant que je m'observais dans le miroir, avec lucidité et courage, je me suis réapproprié chaque centimètre de mon corps avec amour, honneur et tendresse. Ce corps, c'est moi. Ce corps est le vaisseau de mon âme et de tout ce que je suis depuis ma naissance. Chaque ride et chacune de ses imperfections sont une médaille qui témoigne de ma vie et de fait que j'ai donné la vie. En larmes, je me suis embrassée moi-même. J'ai remercié Dieu de ce cadeau que sont ce corps et ma vie. Et j'ai également remercié ce triste individu nommé Dave de m'avoir fait réaliser à quel point tout cela est précieux.

Robin Korth enjoys interactions with her readers. Feel free to contact her at[email protected] or on Facebook.

To learn about her new book, "Soul on the Run," go to: www.SoulOnTheRun.com
You can also download her "Robin In Your Face" free daily motivational app by going to www.robininyourface.com/whats-new/

 

Coupe du monde by Marcello Barenghi

2014-07-10 @ 07:58 in Kanto

Sary vaovao nataon'i Marcello Barenghi indray amin'izao fotoanan'ny Mondial izao. Rehefa tsy nahazo ny amboara ihany ny Italiana dia aleo atao sary mitovy amin'ny tena izy. Dia ankafizo ny nanamboarany azy.

coupe

Coppa

Brezily hotadidiana

2014-07-09 @ 14:51 in Fanatanjahan-tena

Aleo apetraka ato ihany itony hotadidiana any aoriana :-) Resin'ny mpilalao alemana tamin'ny isa mavesatra dia mavesatra 7-1 ny mpilalao breziliana. Ny antony? Satria tsy tahaka ny mpilalao taloha intsony amin'izao ny breziliana. Taloha dia manana ny lanjany daholo ny mpilalao tsirairay fa tsy misy hoe favoris manokana. Afaka mamitapitaka sy mamono baolina avokoa fa tsy misy hoe i ranona na i ranona no tena mpamono baolina. Amin'izao misy mpilalao tena mahiratra fa misy mpiambina sy mpanolotra fotsiny. Ilaina dia ilaina koa ilay mpanolotra baolina saingy tsy tafa raha vao tsy eo ny mpamono.

Koa inona moa fa dia amin'ny 2018 indray manarina.

Bresil

Momba ahy
hery

Ho hitanao ato ny isandroko. Angoniko ato mba hovakiako indray any aoriana any :-)

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